L’art brassicole allemand ne cesse de fasciner, avec ses traditions séculaires et ses bières d’une finesse incomparable. Parmi elles, le Kölsch, cette bière légère et désaltérante, occupe une place de choix. John Keske, le Président des Melbourne Brewers, a su capter l’essence même de cet élixir lors d’un voyage à Cologne qui l’a marqué à jamais. Grâce à sa recette primée, qu’il partage généreusement, plongez dans un monde où chaque gorgée reflète l’excellence et la passion pour la bière artisanale.
Table des matières John Keske, président des Melbourne Brewers, partage la recette délicieuse de son Kölsch primé. Inspiré par un voyage à Cologne, ce style de bière est devenu l’un de ses préférés grâce à sa facilité de consommation et son processus de service particulier. Sa recette met en avant principalement le malt Pilsner et un peu de Münich, donnant à la bière sa simplicité et sa rondeur. Bien que de nombreuses recettes contiennent du blé, Keske préfère ne pas en utiliser, optant pour des houblons Tettnang pour un arôme équilibré et une amertume douce. Un soin particulier est apporté pour obtenir une bière claire, utilisant des agents clarifiants et une période de lagering de quatre semaines. Ce Kölsch a remporté plusieurs compétitions, affirmant sa place sur les éviers de nombreux amateurs de bière.
Recette de la Semaine : Le Kölsch primé de John Keske
John Keske, président des Melbourne Brewers, partage la recette délicieuse de son Kölsch primé. Inspiré par un voyage à Cologne, ce style de bière est devenu l’un de ses préférés grâce à sa facilité de consommation et son processus de service particulier.
Sa recette met en avant principalement le malt Pilsner et un peu de Münich, donnant à la bière sa simplicité et sa rondeur. Bien que de nombreuses recettes contiennent du blé, Keske préfère ne pas en utiliser, optant pour des houblons Tettnang pour un arôme équilibré et une amertume douce.
Un soin particulier est apporté pour obtenir une bière claire, utilisant des agents clarifiants et une période de lagering de quatre semaines. Ce Kölsch a remporté plusieurs compétitions, affirmant sa place sur les éviers de nombreux amateurs de bière.
Ingrédients clés
- 5kg Pilsner malt
- 250g Münich malt
- 60g Houblons Tettnanger
- Levure Kölsch Wyeast 2565 ou White Labs WLP029
Récit d’une passion allemande
Lorsqu’on évoque les bières allemandes, impossible de passer sous silence le Kölsch, cette boisson rafraîchissante et délicate, méconnue pour certains, pourtant aimée des connaisseurs. John Keske, président des Melbourne Brewers, nous dévoile comment un détour par Cologne a bouleversé sa perception. Ce voyage marqua le début de son attachement profond pour ce style si particulier. Boire un Kölsch comme sur place, sans même devoir commander une nouvelle tournée, voilà le charme de ces brasseries où l’on se contente de poser son sous-verre sur le verre vide pour conclure la dégustation.
Une recette qui fait mouche
Dès son retour en Australie, John n’avait qu’une idée en tête : reproduire la recette parfaite. Simplicité d’ingrédients au rendez-vous : du malt Pilsner, un soupçon de Munich pour l’équilibre, voilà la base. Bien que de nombreuses variantes intégrent du blé, John préfère s’en passer, empruntant à d’autres traditions brassicoles pour assurer ce profil limpide et sec. La magie opère sûrement avec des houblons Tettnang, pour une amertume douce mais une personnalité aromatique singulière. Ajouter à cela des astuces de brassage comme l’ajustement des températures et un long temps de lager pour garantir cette clarté envoûtante.
Distinction et partage
Le succès ne s’est pas fait attendre. En quelques concours, John Keske a fait briller son Kölsch à Beerfest et Vicbrew, démontrant combien cette recette pouvait émerveiller même les palais avertis. Avec simplicité et générosité, il propose aux curieux de l’aventure brassicole de découvrir cette bière au sein de la communauté des Melbourne Brewers. Rien ne remplace la satisfaction de partager un savoir, surtout un qui a été couronné de tant de réussites. Chaque compétition est une nouvelle scène pour cette bière, mais c’est surtout la table de ceux qui la savourent qui importe au final.