Dans une époque où la consommation de bière atteint son niveau le plus bas depuis une génération, les brasseurs artisanaux de l’Oregon font face à des défis sans précédent. Entre l’inflation galopante, les ruptures de chaîne d’approvisionnement, la pandémie et une tendance au sobriété notable, les portes de nombreuses brasseries se sont fermées pour la première fois en vingt ans plus souvent qu’elles ne se sont ouvertes. En 2024, ces établissements autrefois florissants, symboles de créativité et de communauté, luttent pour rester à flot face à une concurrence accrue des alternatives émergentes comme les cocktails en canette et les hard seltzers. Alors que l’État est fier de sa culture brassicole, ses artisans voient leur avenir menacé et appellent au soutien de leurs communautés et des décideurs politiques pour traverser ces temps tumultueux.
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ToggleUne Année Challengeante pour les Brasseurs Artisanaux de l’Oregon
En 2024, les brasseurs artisanaux de l’Orégon ont traversé l’année la plus difficile de ce siècle. Pour la première fois, plus de brasseries, taprooms et brewpubs ont fermé que de nouveaux ont ouvert. Plusieurs facteurs ont contribué à cette crise : l’inflation, les problèmes de chaîne d’approvisionnement, les pénuries de personnel, les séquelles de la pandémie, et une baisse générale de la consommation de bière. En effet, la consommation de bière en Amérique a atteint son niveau le plus bas de ces dernières décennies. En Orégon, qui abrite plus de 300 brasseries générant des milliards de dollars en production économique et des dizaines de milliers d’emplois, la situation est préoccupante. Alors que la communauté brassicole appelle à un soutien public et législatif, certaines propositions législatives pour 2025 envisagent des hausses fiscales, suscitant l’inquiétude parmi les acteurs de ce secteur si essentiel à l’identité de l’État.
l’impact des changements récents sur le secteur
En 2024, les brasseurs artisanaux de l’Oregon ont traversé une période tumultueuse, marquée par une réduction significative de la consommation de bière à travers les États-Unis, atteignant son niveau le plus bas en une génération. Des facteurs divers tels que la légalisation du cannabis et l’émergence de nouvelles boissons alcoolisées comme les sels durs et les cocktails en canette ont contribué à cette baisse. La situation économique déjà précaire des brasseries a été exacerbée par la concurrence accrue et une tendance croissante vers la sobriété parmi les consommateurs.
les défis économiques rencontrés
L’année dernière, l’Oregon a subi une perte considérable dans le secteur de la brasserie artisanale. Plus de brasseries, taprooms et brewpubs ont fermé leurs portes que de nouveaux ont ouvert, un événement sans précédent au cours de ce siècle. Avec une réduction de 2 % du volume de bière artisanale consommée, les brasseurs locaux font face à des défis massifs tels que l’inflation galopante, les problèmes de chaîne d’approvisionnement, et une pénurie de main-d’œuvre. En dépit de la valeur économique significative apportée par ces entreprises locales, certaines pressions législatives envisagent d’imposer une augmentation des taxes sur ces entreprises florissantes.
une nécessité de soutien communautaire
Sam Pecoraro, Président du Oregon Brewers Guild, a souligné l’importance d’un soutien accru de la communauté pour la survie des entreprises locales. L’urgence est de se mobiliser ensemble afin de traverser cette période difficile. L’Oregon reste un acteur majeur dans l’économie de la bière, avec plus de 300 brasseries générant d’importants revenus et créant des milliers d’emplois. Pour garantir leur avenir, le soutien du public s’avère crucial, tout comme celui des décideurs politiques. L’Oregon est un exemple parmi d’autres, comme le montrent les défis similaires pour les brasseurs artisanaux du sud-est du Minnesota, qui se préparent à une année incertaine en 2025.
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— Ville de Nîmes (@nimes) August 8, 2024
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📷 Alexis Mourichon pic.twitter.com/59DqJMQwkV